Menu Fermer

Édition 2018 – Les auteurs

Gilbert Laval et son livre « Le Gauchisme flamboyant – L’Après-68 à Toulouse »

Ce livre n’est pas un manuel d’histoire, ni un roman d’aventure politique et encore moins un annuaire pratique de l’extrême-gauche des bords de la Garonne. Il est un récit de Toulouse par ceux qui y ont imaginé toute proche une révolution de la vie, ont couru sous les lacrymogènes ou ont abandonné leurs études pour aller s’établir en usine. Il est comme un reportage dans le temps de l’Histoire dite encore immédiate.
Les quarante-neuf acteurs majeurs ou témoins de ces années flamboyantes qui nous ont confié leur témoignage insistent tous pour dire le bonheur qu’a été pour eux de vivre ces temps qui ont changé les temps, qu’ils n’en regrettent surtout rien.

Nicolas Rouillé et son livre « Timika »

Nicolas Rouillé est auteur de romans. Après un voyage dans les squats (Le Samovar, 2012), il nous emmène avec Timika Western Papou (éd Anacharsis, 2018) en Papouasie occidentale, territoire colonisé par l’Indonésie où se trouve la plus grande mine d’or du monde.

 

 

Gilles Vincent et son livre « Noir Vézère »

Après 33 ans dans le Nord et onze ans à Marseille, Gilles Vincent décide, en 2003, de poser valises et stylos dans le Béarn. Depuis quinze ans, il consacre le plus dense de sa vie à l’écriture. Il est aussi l’animateur d’ateliers d’écriture en milieu scolaire, en prison, à l’hôpital…Les pages lues, écrites sont ses poumons, les mots, tout le sang qui l’habite… Ces romans ont été de nombreuses fois été récompensés.

 

Patrick de Meerleer et son livre « Le long silence de Veronica »

Auteur toulousain amoureux des Pyrénées, passionné de montagne, botanique et généalogie, je me consacre depuis une dizaine d’années à l’écriture de romans et nouvelles où je tente de réconcilier l’homme des villes et celui des champs, jeunes et aînés, passé et futur, hommes et femmes, afin d’illustrer l’universalité de la condition humaine. Mes publications : Le Mortel que les sirènes ont charmés (… plus que l’immortalité) (Publibook 2015) ; Le Nom du père (Empreintes 2016) ; Le Belge égaré en Ariège (… et autres divagations pyrénéennes) (Nouvelles, Complicités 2017) ; Le long silence de Veronica (Le Pas d’Oiseau 2018), roman historique.

 

Chrysostome Gourio et son livre « Rufus, le fantôme »

Chrysostome Gourio est né un peu partout et à une date variant selon les sources, ce qui fait qu’on n’a qu’une vague idée de son âge, et on se demande s’il est grec, breton, niçois, ou spinoziste. Certaines mauvaises langues disent qu’il aurait été gardien de but, plongeur, parachutiste, éboueur, mais personne n’en a jamais eu la preuve. Ce qu’on sait par contre de façon certaine c’est qu’il a été un temps prof de philo – il en glisse partout dans ses livres – puis libraire et enfin interprète en langue des signes. De temps en temps, aussi, pour son plus grand bonheur, il écrit des livres pour les plus et les moins jeunes. Sans doute est-ce pour cela qu’il ne vit plus à Paris.

Halim Mahmoudi et son livre « Un monde libre »

Illustrateur (presse et autres), la vie a mené mes pas à la rencontre de groupes divers avec lesquels j’aime bien fricoter, du Mensuel Psikopat au groupe de rap La Rumeur. Je passe aussi régulièrement par les cases écoles et prisons (c’est un peu pareil), où j’anime depuis 2015 – année caricaturale – des ateliers de « Philosophie des sciences de l’image », c’est un corpus d’analyse critique des images. Auteur de romans graphiques, mes albums parlent en général de sujets qui énervent un petit peu : Immigration et insurrection (Un Monde Libre – Des Ronds dans l’O), ou maltraitance infantile (Petite Maman – Dargaud). Et mon prochain album qui parlera des ravages de la guerre et du terrorisme, ne risque pas beaucoup d’arranger les choses …